J'ouvre les yeux et je vois...
... quatre perspectives d'un seul coup. Le double du double, comme s'il fallait 4 points de vue différents avant de comprendre où on est : de face, de dessus, de derrière les escaliers, de l'autre côté.
Quatre points de vue presque identiques, comme ces quatre voitures alignées, presque les mêmes, à peine une nuance de bleu. Gris et bleu, les couleurs de la Sauvegarde.
Quatre points de vue presqu'identiques, deux couleurs. Voilà ce dont je me souviens de ce voyage au cœur de la Duchère.
Deux couleurs et une seule forme, le cube.
Quatre perspectives, deux couleurs, une forme et mille destins, vies, histoires, préoccupations, âges, identités. Comment 1000 peut-il entrer en 1 ?
Moi, je sais, c'est en zoomant que l'on comprend.La multitude est dans le détail. Rapproche-toi de cet immeuble, celui-là, aux persiennes rouges et jeunes, de cette borne pompier chatoyante, de ces plantations ça et là pour adoucir le paysage en lignes droites, cubes - et moi qui n'aime pas l'arithmétique !
Je cherche en vain quelques formes arrondies mais sans succès... Ah si ! Ne serait-ce pas les monts d'Or que l'on devine au loin ?
Oui bien sûr !
Ils forment une ligne d'horizon majestueuse. Oups, j'arrive en bas de ma page ; je suis obligé de m'arrêter d'écrire !
... quatre perspectives d'un seul coup. Le double du double, comme s'il fallait 4 points de vue différents avant de comprendre où on est : de face, de dessus, de derrière les escaliers, de l'autre côté.
Quatre points de vue presque identiques, comme ces quatre voitures alignées, presque les mêmes, à peine une nuance de bleu. Gris et bleu, les couleurs de la Sauvegarde.
Quatre points de vue presqu'identiques, deux couleurs. Voilà ce dont je me souviens de ce voyage au cœur de la Duchère.
Deux couleurs et une seule forme, le cube.
Quatre perspectives, deux couleurs, une forme et mille destins, vies, histoires, préoccupations, âges, identités. Comment 1000 peut-il entrer en 1 ?
Moi, je sais, c'est en zoomant que l'on comprend.La multitude est dans le détail. Rapproche-toi de cet immeuble, celui-là, aux persiennes rouges et jeunes, de cette borne pompier chatoyante, de ces plantations ça et là pour adoucir le paysage en lignes droites, cubes - et moi qui n'aime pas l'arithmétique !
Je cherche en vain quelques formes arrondies mais sans succès... Ah si ! Ne serait-ce pas les monts d'Or que l'on devine au loin ?
Oui bien sûr !
Ils forment une ligne d'horizon majestueuse. Oups, j'arrive en bas de ma page ; je suis obligé de m'arrêter d'écrire !
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